Un rite initiatique où se mêlent créature légendaire, militantisme écologique, voyage astral, self-healing et lâcher prise.
L'excellent Oroborus et son riff en tapping donnant l'impression du mouvement perpétuel est la clef de voûte de cet album -- visuel, mystique , un chef-d'oeuvre. La symbolique anti-materialiste, parfois nihiliste de "the art of dying" et "vacuity" rend cet album plus sombre, je conseille aux lecteurs de cette critique de regarder le clip de ce dernier titre, visuellement très réussi (Ça prend les tripes).
La participation de Randy Blythe et son puissant death growl sur "Adoration for none" est juste exceptionnelle.
Plus sombre que son prédécesseur, l'album " The way of all flesh" est une invitation a s'échapper, voyager... aux frontières de la vie.