Engagement maximum
Le rythm'n blues était bien sûr déjà l'influence principale des Dexys midnight runners première mouture, celle avec uniquement (!) la section cuivre en plus du combo rock/folk. Dexys : la dexedrine,...
le 11 déc. 2023
3 j'aime
En 1982, l'anarchiste fou-furieux Kevin Rowland décide que le dernier chic de la contestation, c'est de s'habiller en marin Irlandais au chômage : une manière comme une autre de lutter contre le look garçons-coiffeur des blanc-becs qui trustent les Hit Parades britanniques. On en rit encore, mais, heureusement, la musique est ici autrement plus consistante - j'allais dire sérieuse : gigues folkloriques et soul Van Morrisonienne alternent, on tape du pied et on hurle à tue-tête les refrains. Et si ce vieux Kevin avait eu raison, et que la plus belle révolution était celle qu'il provoqua dans nos cœurs ? [Critique écrite en 1990]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes 250 albums indispensables de l'histoire du Rock [en construction], Mes 10 albums préférés de 1982, Les meilleurs albums anglais des années 1980, Ceux qui ont triomphé de la malédiction du second album et Liste chronologique des concerts auxquels j'ai assisté [en construction permanente]
Créée
le 8 oct. 2014
Critique lue 471 fois
4 j'aime
D'autres avis sur Too-Rye-Ay
Le rythm'n blues était bien sûr déjà l'influence principale des Dexys midnight runners première mouture, celle avec uniquement (!) la section cuivre en plus du combo rock/folk. Dexys : la dexedrine,...
le 11 déc. 2023
3 j'aime
Qui a traversé les années 80 sans entendre une seule fois "Come on Eileen" ? L'unique tube de DEXYS MIDNIGHT RUNNERS est dans cet excellent album anti-déprime. Kevin ROWLANDS et ses comparses n'ont...
le 7 août 2014
1 j'aime
Un autre album original du genre Blue-eyed soul avec des accents faussement irlandais et un ensemble foutraque et joyeux avec des cuivres, des violons...et batterie. À noter un titre qui se...
Par
le 8 oct. 2024
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
191 j'aime
115
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
190 j'aime
25