On lit ça et là des choses comme : "One of the great singer songwriters of the age, Sheffield's Richard Hawley is also one of the great male vocalists, his voice a rich deep burr that flows like dark oak casketed molasses" (Russell Clarke) ou "Like a contemporary Nat King Cole (only better), Richard Hawley has delivered an exceptional collection of emotionally-engaging, truly beautiful ballads" (A. Sweeney). Comme "Truelove's Gutter" apparaît aussi dans plusieurs "Top 10" rituels de la fin d'année, on se laisse tenter… On laisse entrer, sans méfiance, cet album dans sa vie. Une semaine plus tard, on se rend compte qu'on n'arrive plus à écouter quoi que ce soit d'autre, qu'aucune autre musique ne paraît aussi subtilement riche, aussi mystérieusement satisfaisante, aussi tristement tendre ni magnifiquement… humaine. Mieux que tout Nat King Cole ? Meilleur que le meilleur Sinatra ? Plus bouleversant encore que le "Almost Blue" de Costello chanté par Chet Baker ? Oui, c'est possible… [Critique écrite en 2009]