Dans la lignée des grands groupes de pop anglaise avec guitares (disons les Kinks des débuts), il faudra donc désormais compter avec Franz Ferdinand : débarrassé de quelques (peu, quand même, par rapport à ses contemporains) scories revival new wave, Franz Ferdinand livre un deuxième album - soit le plus difficile, surtout après un chef d'oeuve - brutal, acharné même dans sa détermination à conjuguer mélodies lumineuses, riffs tranchants et grooves bestiaux. Pas une chanson faible, c'est-à-dire pas une qui ne donne pas envie ou de se jeter sur le dance floor en se prenant pour Travolta, ou de pogoter furieusement comme aux meilleurs jours des Undertones : la concurrence est laminée, et nous sommes HEUREUX ! [Critique écrite en 2005]

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le 4 août 2014

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Eric BBYoda

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