Lorsqu’un supergroupe britannique enregistre un album, on écoute et on espére que ce sera au niveau des attentes. Est-ce que c’est le cas ?
Qu’est-ce qu’un supergroupe ? C’est un groupe composé d’artiste qui ont déjà fait carriére au sein de leurs groupes respectifs. Ils sont donc déjà connu du public et se rassemble au sein d’une formation commune. Dans le cas de The Jaded Hearts Club, ce sont des artistes britannique donc. Ici, on croise par exemple Mile Kane, Nic Cester, Matthew Bellamy à l’occasion, Graham Coxon, Sean Payne ou encore Jamie Davis. D’autres viennent faire un coucou à l’occasion comme Dominic Howard ou Paul McCartney ! Et ici, ils ont décidés de reprendre ensemble de rares morceaux de soul. Mais ils les reprennent de façon moderne. Le résultat est de qualité. Pas grandiose. Pas novateur, mais efficace et adioptant le style des différents membres du groupe, pour livrer en effet un disque totalement dans le ton qu’on attendait. Rock, tout en gardant un petit côté soul, mélant donc le style des 60’s et celui de maintenant, voilà un album ultra efficace, à défaut d’être surprenant !