Critique de Zimmer 483 par Scarlet
dans la continuité du premier album du pure Tokio Hotel. Peu importe l'humeur dans laquelle on est, on toujours une chanson qui y correspond.
Par
le 30 juil. 2012
Qu'est-ce que cette pochette est laide...
Bon, parlons de l'album. C'est toujours Tokio Hotel donc, le groupe/machine à fric à la mode au début des années 2000, sauf que là ça sonne un petit peu plus rock.
La voix de Bill Kaulitz est toujours trop mollassonne pour qu'il y ait une vraie énergie, mais déjà au niveau des compositions on sent une petite amélioration. Le truc c'est que ça reste de la musique assez fade. Ich brech aus a un riff qui est loin d'être dégueu par exemple...
Créée
le 11 août 2020
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