Là, on commence à sentir que l'auteur tourne en rond, qu'il a atteint les limites de son univers actuel et qu'il l'exploite aussi longtemps que possible.

Ça reste toujours drôle, oui, mais le ton a un peu changé, on est moins dans l'absurde discret qui faisait le charme des premières planches. En même temps, tourner en rond est le lot de tous, compris les auteurs américains dont Roba a pu s'inspirer. Graphiquement, il peaufine toujours son art. La mère de Boule semble avoir trouvé la bonne coiffure (elle n'arrête pas de changer depuis le premier album).

Bref, ce tome 4 est peut-être moins bon que les précédents, mais ça reste une bonne boîte à rire.
Fatpooper
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le 15 févr. 2014

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