Révolutions
Ma critique concerne les 8 premiers tomes. Vu le nombre de fautes, j'imagine qu'il s'agit d'une traduction pirate (d'ailleurs les credits sont en anglais). L'histoire se lit, on a plein de...
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le 3 juil. 2016
Ma critique concerne les 8 premiers tomes. Vu le nombre de fautes, j'imagine qu'il s'agit d'une traduction pirate (d'ailleurs les credits sont en anglais).
L'histoire se lit, on a plein de retournements de situation pour maintenir l'intérêt du lecteur. Mais c'est souvent un peu facile, notamment avec l'utilisation de cliffhangers comme je les déteste en fin de chaque volume. Il y a aussi quelques scènes d'action bien spectaculaires, et heureusement parce que les dialogues sont souvent chiants à lire, la faute à des personnages pauvres et à une intrigue mal ficelée. C'est mal ficelé parce que les avancées narratives sont soudaines et semblent venir trop facilement. Y a un côté redondant à certaines parties, on sent que les auteurs font traîner les choses sans pour autant avoir quoique ce soit à proposer.
Le graphisme est aussi inégal. J'aime beaucoup les couleurs, on y trouve beaucoup d'effets de matière. Le trait brut est sympathique aussi mais parfois il y a trop de traits, ce qui gâche la beauté graphique des planches. Le dessin n'est pas toujours juste non plus, les personnage surtout sont parfois mal dessinés (main difforme, body language figé), alors que les décors sont assez chouettes. Je ne suis pas très fan non plus lorsque l'arrière plan est 'adouci', 'éclairci' pour mettre en valeur l'avant plan (c'est un peu comme le flou au cinéma, sauf que ce traitement graphique me paraît trop artificiel). Le découpage est globalement efficace, même si on retrouve cette tendance à exagérer le dynamisme de certaines cases, ce qui rend les pages parfois indigestes. Mais bon, y a de belles choses, de beaux cadrages.
Bref, l'un d'ans l'autre, au final, je trouve la BD divertissante, mais je ne suis vraiment pas intéressé par la suite au-delà des effets addictifs que provoquent les cliffhangers : il ne se passe rien et tout en même temps (les auteurs peuvent partir dans toutes les directions et je n'aime pas ça, je ne ressent pas assez de liens entre le premier et le huitième volume). Le dessin peut être chaotique par moment mais révèle aussi des moments graphiques très forts. Inégal en somme.
Créée
le 3 juil. 2016
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