En fait, Boule et Bill me procure à peu près autant de plaisir que Calvin et Hobbes. Certe, ici l'imagination de Boule est beaucoup moins sollicitée, mais l'on retrouve autant la nostalgie de l'enfance et les petites choses qui font un monde magique à cet âge. Et puis, même si Bill n'a pas la même fonction psychologique que Hobbes, il n'en est pas moins un bon vecteur critique de l'homme.

Graphiquement, Roba reste au top, affinant et détaillant toujours plus ses planches ; ses histoires restent très drôles et divertissantes, l'auteur ne se gêne pour y pousser quelques coups de gueule, certains gags sentant le vécu.

On reste dans du bon cru !
Fatpooper
9
Écrit par

Créée

le 20 févr. 2014

Critique lue 130 fois

2 j'aime

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 130 fois

2

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

122 j'aime

35

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

120 j'aime

45

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

107 j'aime

55