Faibles rimes
Vandersteen nous avait habitué à mieux en terme d'imagination. Cette fois, nos héros ne quittent pas nos vertes contrées mais ont fort à faire face à un criminel nommé Crimson, cherchant à tuer à...
Par
le 10 mai 2016
Je ne connaissais pas ce terme 'rimailleur', comme quoi "Bob et Bobette" m'aide dans ma quête du français ; d'ailleurs je me souviens que j'ai toujours eu ce préjugé que cette série était bourrée de faute parce que soi disant l'auteur traduisait lui-même du néerlandais au français. J'ignore qui traduit, ce qui est sûr c'est qu'il n'y a pas tant de fautes que ça sur la vingtaine d'albums que j'ai pu lire. Dans cet album-ci, il y a quelques tournures un peu bizarres mais rien de bien méchant.
L'intrigue est assez chouette. j'aime beaucoup toute la poésie qui découle des idées principales. La structure est moins alambiquée (ou décousue) que dans la plupart des précédents tomes de la série ; ça se lkit d'une traite, avec de bons conflits, de bonnes résolutions et une exploitation toujours aussi ludique du surréalisme ; l'humour fait mouche assez souvent et permet aussi de cacher quelques résolutions faciles.
Graphiquement, c'est un bien bel ouvrage avec de belles compositions, des idées visuelles un peu plus élaborées qu'à l'accoutumée, des personnages expressifs, des poses dynamiques. Seul, regret, qu'il y ait toujours ce halo dès qu'un personnage se retrouve sur un fond noir.
Bref, cet album est chouette.
Créée
le 28 juil. 2018
Critique lue 89 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Le cheval rimailleur
Vandersteen nous avait habitué à mieux en terme d'imagination. Cette fois, nos héros ne quittent pas nos vertes contrées mais ont fort à faire face à un criminel nommé Crimson, cherchant à tuer à...
Par
le 10 mai 2016
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
121 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
108 j'aime
55