Rappi Rangai par Antoine RIMBERT
Japon, époque Sengoku (1467-1573).
Le clan Katana vient d’être détruit jusqu’au dernier par son pire ennemi le clan rival ^^. Il reste un seul membre et héritier de ce clan, un jeune homme, Raizô, arborant une corne sur le front, signe distinctif des mâles du clan. Ignorant tout de son ascendance et cachant sa corne qui lui a gâché jusqu’à présent sa vie, Raizô va voir son destin changer.
C’est en sauvant une jeune, belle et courte vêtue kunoichi (femme ninja) qu’il va apprendre son origine. Elle est une des seules survivantes du clan Katana et est là pour le protéger. En fait le jeune Raizô va découvrir que deux autres kunoichi sont à son service, toutes les deux portants tenues sexy.
Et ce sera à qui des trois défendra le mieux leur Seigneur. Entre Kagari qui a son corps qui devient dur comme de l’acier quand l’homme avec qui elle a échangé un baiser la regarde, en l’occurrence Raizô. Kisarabi, spécialiste des armes à feu et explosifs, gardant la tête haute et le sang froid. Et Himemaru, experte en maniement des cordes, qui rappelle le bondage japonais, qui est en fait un homme voulant se marier à un puissant seigneur
par fainéantise et vice.
Dessin soigné, tenue extravagante, situation incongrue, tout est prétexte à l’initiation du jeune héros. Du shônen pur jus, drôle et scabreux comme il faut. Mais voir quand même comment évolue l’histoire, un résumé est
sur wikipédia. Plutôt plaisant.