1999, Leo, BD science-fiction
Une série de BD fantastiques issue des années 90 emmène tous les lecteurs et lectrices à la découverte de diverses planètes. Luiz Eduardo de Oliveira appelé plus simplement sur la couverture Leo vous fait découvrir son monde de planet opera.
La technologie fait ses preuves sur Terre. Parallèlement, la pollution ne cesse de croître. Grâce au progrès, la Terre lance une colonisation sur une planète appelée Aldébaran. Malheureusement, la colonisation perd communication avec la Terre. Des signes sur place annoncent une catastrophe. La vie marine s’éteint gentiment. Un énorme poisson surnaturel s’échoue sur la plage.
Un jour, la catastrophe arrive. Un monstre géant engloutit le petit village de pêcheurs avec une substance ressemblant à de l’acide. Marc et Kim, les deux personnages principaux, ont tout perdu. Ils se déplacent vers la capitale et décident de recommencer leur vie. En chemin, ils découvrent la fameuse reporter Alexa Komarova, ayant le dont d’être éternelle. Elle recherche son mari, Driss Shediac. Une fois celui-ci retrouvé, les quatre partent à l’aventure contre les méchants...
Cette BD m’a beaucoup plu, je l’ai trouvée à mon goût. Le dessin est raffiné et les couleurs bien choisies et variées. J’ai même trouvé que les onomatopées ressemblaient vraiment à un monde parallèle. Ce « pentacle »fantastique m’a fait voyager dans une autre dimension. Le rythme est géré d’une manière assez particulière. Alternant les révélations et les actions, l’histoire se déroule à merveille sous vos yeux. J’ai eu un petit attendrissement pour les bêtes magiques de cet univers. Le grand dinosaure volant chevauché par Marc et Kim m’a ému. Ce que je trouve passionnant, c’est que Leo nous plonge dans son monde à lui. En lisant ce livre, nous sommes coupés de toute réalité terrienne.
J’ai beaucoup apprécié cette série de BD. C’est pourquoi, je la conseille à quiconque voulant voyager à travers la lecture et découvrir un univers fantastique.