Critiques de Area 51, tome 7

Anvil
9

Elle aimait la mort, il aimait la vie...

(Oui, je détourne Shakespeare pour ce tome.) Mon seul regret, à la fin, c’est l’absence de quelques histoires courtes de Masato Hisa. Et encore je chipote : les festins de l’hécatocéphale répondent...

le 3 mai 2016