critique du premier cycle. Une bonne surprise, sur une tonalité proche du célèbre Murena, Arelate prend un parti stylistique sépia convaincant pour raconter une histoire intime de rédemption d'un citoyen déchu et d'un jeune romain avide d'aventures maritimes.
Terriblement bien documenté et ludique, ce cycle mêle habilement une intrigue prenante pour illustrer la vie quotidienne, les us et coutumes de l'époque romaine.
C'est si bien fait que l'on ne regrette pas les quelques dessins approximatifs sur les personnages, parfois trop ressemblant entre eux pour distinguer du premier coup qui fait quoi et un peu courts sur pattes par moment pour un style réaliste.