Etonnamment, cette BD dont je n'attendais rien a démarré plutôt fort, avec un Batman détective qui ne peut se parler qu'à lui-même. Les pertes de mémoire induites par l'île le forcent à utiliser son ingéniosité mais poussent aussi l'ambigüité de sa relation avec Catwoman. La première moitié, ou le premier tiers pour être plus précis est donc une agréable surprise, alors que je ne m'attendais qu'à un truc bateau pour vendre plus.
C'est ce que sera la seconde moitié. Franchement, l'histoire de Fortnite n'est pas vraiment intéressante, et il n'y a que quelques jolis dessins pour sauver le tout.
Donc je dirais que pour le premier tiers on fait face à un trope assez commun, mais que pour le second on tombe dans la soupe grise et fade de ce qu'on voit déjà partout, bref c'est clairement mitigé. Pourtant j'ai aimé cette première partie.