Un bon tome de transition, sans avancées majeur mais très fluide à lire, dans lequel figure des planches splendides d'un Griffith tout en pureté, mais également de belles représentations des forteresses assiégées.
Le combat entre Zodd et Guts est brouillon mais donne une sensation de fouillis qui était probablement recherché. Et c'est probablement l'argument automatique pour répondre aux critiques légitimes sur le dessin de Kentarō Miura lors des combats.
Enfin, les dernières pages se penchent sur l'enfance de Serpico et permettent de mieux cerner sa relation avec Dame Farnèse tout comme elles donnent l'occasion d'un propos intéressant sur les déterminants sociaux à la violence.
7.25/10