Par le célèbrissime créateur du Sandman!
Ici, le (ou la en l'occurrence!) héros
(héroïne donc) est torturée puis brulée vive dès la cinquième page...
En 2002 la préface de Michael Gilmore (Revue Rolling Stone)
s'inquiète avec soulagement de la disparition quasi annoncée dans Black Orchid, des ''supers slips''!
(c'est raté avouons-le)
Mais là où Black Orchid prend toute sa dimension, c'est dans le graphisme hallucinant et halluciné d'un des compères de Neil Gaiman: Dave McKean (que l'on retrouve dans toute l'oeuvre du Maitre Gaiman!) dans l'idée aussi que mort, l'on pèse plus que vivant!
Alors, préparez-vous à une chute libre avec, en prime (c'est trop rare!) une fin non seulement inattendue, mais plus encore, dans ce genre de Littérature (sans connotation négative) une fin résolument optimiste (Dieu que c'était, pourtant, mal parti!)
Bravo à ce monument du Roman graphique au mieux de sa forme!!