Ca s'arrête jamais.
Mais de quoi parle-t-on.
Comme si le soufflet avait tellement monté que son odeur allait retomber pour des siècles et des siècles, de microparticules rejetées du plat bien préparé qui allait chercher leur vie au milieu de leur vide, de leur unique moyen d'existence.
On ne reprend rien et on recommence.
Donc là c'est la paix, tout va bien, donc on invente des nouveaux ennemis qui sortent d'à peu près nulle part pour faire remonter la pate à ninja.
KUNAI EXPLOSIF
Et le monde s'auto-détruisit, implosant sous sa propre vacuité.
Comme on a plus rien à raconter mais qu'on doit continuer dans l'élévation de puissance, ca devient tellement démesurer que l'univers, tout propos, et mêmes les personnages disparaissent sous la distance entre eux et un regard quelconque.
Du fait des techniques trop destructrices omniprésentes, tout saute simplement pour voir des mouvements d'air : ca devient tellement vain que cet univers tout entier tombe d'abandon, loin de l'esprit de quiconque mais proche des stimulations nerveuses qui prennent possession du corps de son prochain comme Abalam.