Alors là j'ai bien ri durant la deuxième histoire. Cauvin, dans un éclair de génie, choisit le commissaire comme protagoniste principal au lieu du traditionnel agent 212. Et franchement c'est une réussite. Ca apporte un vent de fraîcheur, on sort de la routine. Malheureusement c'est le seul gag du genre, qui exploite un personnage secondaire. Pour le reste, onr etombe donc dans la routine à laquelle Cauvin nous a habitués : recyclage, gags faciles et superficiels.
Kox semble prendre son pied toujours autant en dessinant l'agent. Surtout que depuis peu, Cauvin lui inclut des accessoires sympathiques à dessiner : un tank par exemple ! C'est globalement efficace, et Kox en profite dès qu'il peut offrir un découpage plus intéressant.
Bref, légèrement mieux que les albums précédents grâce à un gag hilarant au début, et puis aussi sur la fin, les gags se font de plus en plus absurdes et plus rigolos.