La découverte de la ringardise du propos ayant déjà eu lieu dans le tome 1, on peut se concentrer un peu plus sur l'intrigue sans râler toutes les 3 pages sur une incohérence.
Le côté papy ronchon qui râle sur la technologie perdure tout de même et il suffit de lire le dernier Damasio pour voir qu'il est possible de décrire une vision pessimiste d'un futur proche ainsi que les dérive de la technologie sans tomber dans ces travers.
Ah, et ça devait être dit : Bilal ne sait pas dessiner les femmes. Ou plutôt : Bilal sait dessiner une femme et c'est tout. En gros, depuis la fin de la trilogie Nikopol tous ses personnages féminins ressemblent à Yelena de Froid Equateur. Là le problème c'est qu'elles sont trois dans le même livre, l'adolescente, sa mère et la scientifique. Heureusement, on peut s'en sortir avec la coupe de cheveux, mais vraiment, il serait temps qu'il se rende compte que d'autres physiques existent.