Malgré toute ma tendresse pour Kox, Cauvin et Arthur, si j'ai dévoré cet album comme tous les autres, il ne contenait rien de bien neuf sous le soleil de Belgique, au point qu'on aurait envie d'envoyer Raoul à la circulation pour renouveler son stock de gags !
C'est la rançon du succès : les fans en veulent toujours d'avantage comme les buts avec une équipe de foot en pointe !
Et je vais finir par croire Kox paresseux ou expéditif. A la télé, il y a la météo avant, après (et parfois pendant) le journal télévisé, dès fois qu'on serait trop cons pour ne pas avoir compris du premier coup.
Daniel tombe non pas dans les oubliettes du château de la baronne de cet épisode, mais dans la même facilité. L'accès de ces oubliettes (page 7) a toujours le même arrière-plan et sent à pleines narines le copier/ coller...
Même consternation avec la page de fin avec six cases bleu-étoîlé, (je n'ai pas dit noires) pour une histoire qui tombe à l'eau...
Ah si, quand même un moment jouissif, quand un automobiliste retire de son pare-brise une prune et voit (non sans plaisir) son fils juché sur un skate ne sachant pas s'arrêter et défoncer les attributs masculins de l'agent 212 ! Parfois, il faut ne pas savoir parfois rester maître de sa vitesse !