5
Mouais...
Une BD qui j'ai lue d'une traite, je ne peux donc pas mettre une mauvaise note. L'histoire est en effet prenante et intéressante, mais, au final, il s'agit d'une tranche de vie, plus que d'une...
le 13 janv. 2020
La famille a faim
Un peu déçu.
Le premier chapitre est plutôt prenant. Après, ça devient un peu forcé avec cette thématique un peu trop appuyée (et redondante) de la famille castratrice. Les autres récits sont moins intéressants parce qu'ils suivent le premier et la réunion des trois intrigues peine à intéresser, peut-être parce qu'on ne s'attend pas à quelque chose d'aussi linéaire là où le début est intriguant. Le retournement de situation final n'est pas vilain, mais c'est un peu gratuit et puis ça gâche un peu le mystère du personnage disparu.
Le graphisme est synthétique, efficace, la dessinatrice va à l'essentiel. Cela fait très américain dans l'encrage même si c'est ici parfois un peu lourd, n'empêche que ça fonctionne. Les cadrages sont plaisants mais parfois un peu gratuits (si on analyse le cadrage on se rend compte que l'auteure joue avec des effets gratuits). Les attitudes des personnages sont très justes. Le jeu de couleurs fonctionne assez bien, la coloriste trouve de bonnes idées au niveau de l'ambiance et des solutions efficaces pour faire ressortir des éléments.
Bref, l'un dans l'autre, ça se lit, mais l'intrigue déçoit.
5
Écrit par
Créée
le 28 sept. 2018
Critique lue 86 fois
D'autres avis sur Comment naissent les araignées
5
La famille a faim
Un peu déçu. Le premier chapitre est plutôt prenant. Après, ça devient un peu forcé avec cette thématique un peu trop appuyée (et redondante) de la famille castratrice. Les autres récits sont moins...
Par
le 28 sept. 2018
7
La volonté de ne pas abandonner
Le récit croisé de trois femmes (bon... et sur la fin celle du mec qui a tout déclenché mais c'est moins important) qui se rencontrent à un moment charnière de leur vie et qui font ensemble un bout...
Par
le 16 mai 2015
Du même critique
5
Django in White Hell
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
10
Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
120 j'aime
45
5
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
108 j'aime
55
