Récemment réédité au format poche Nomad chez Urban Comics, le run de Geof Johns Blackest Night propose une relecture sombre et violente d'un des événements les plus traumatisants de la Justice League.
Faisant suite à l'arc narratif initié par Geof Johns, Blackest Night met en avant Black Hand, un super criminel qui, après son suicide, revient d'entre les morts par la puissance d'une mystérieuse entité. Devenu le héraut d'un nouveau spectre du corps des Lantern, Black Hand ressuscite les super héros et prend possession des autres à une vitesse alarmante. La fin de la lumière est proche, place à l'ère des ténèbres.
S'il faudra avoir lu la Justice League vu par Geof Johns, composée de 6 tomes, vous pourrez cependant raccrocher quelques wagons via des pages explicatives des différents Corps Lantern. Car c'est effectivement une histoire centrée sur les Lanterns que propose Blackest Night, avec son lot de lore autour de ce groupuscule iconique de DC. Il faudra quand même avoir une solide connaissance des héros de la Justice League pour ne pas être largué niveaux référence, mais pour le reste : c'est du solide.