Ce dernier album repart en force et l'intrigue qui se noue semble rudement complexe. Qui manipule qui ? Telle est la question.
Navïs semble toujours hyperactive et les auteurs réussissent même à la rendre insupportable : on lui filerait des claques tant elle est parfois agaçante... et donc tellement humaine.

Au milieu de sa course endiablée où elle s'en sort à chaque fois d'un cheveu, on aura quelques surprises assez incongrues mais également quelques scènes de toilette des plus étonnantes : par exemple cet appareil à faire les tresses automatiquement ferait rêver bien des femmes !

Ce nouvel épisode se clôture dans une apogée qui appelle sans délai une suite pour connaître enfin les tenants et les aboutissants de ce redoutable écheveau.
Apostille
8
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le 6 janv. 2012

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