Toujours aussi sombre et violent, « Doggybags, volume 10 » relève pourtant le niveau par rapport au volume précédent en proposant des histoires plus originales : la première incroyablement cynique mais massacré par le graphisme abominable de Shavrin, la seconde classique mais plutôt exotique avec son folklore russo-démoniaque et la troisième la plus aboutie utilisant la déchéance de Detroit, Motor-City pour une plongée dans un univers machiavélique digne des psycho-killers.
Si les scénarios se relèvent, dommage simplement que le graphisme plutôt pauvre voir affreux, ne soit pas tout à fait à la même hauteur !
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