Des histoires qui ne sont pas à la hauteur du talent de leurs auteurs ?
Graphiquement, y'a pas grand chose à redire, Doggybags ne fait pas dans la demi-mesure.
Au niveau des scénars, ça se complique fortement.
J'aime beaucoup El Diablo mais sur ce coup-là, son historiette (la 1ère des 3 présentées dans ce tome) est véritablement indigente, digne d'un enfant de 4 ans.
Les 2 dernières histoires sont bien plus plaisantes à lire mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur le format : tant de travail à fournir pour Run et Singelin pour des histoires si insignifiantes par rapport à leurs séries en cours (Mutafukaz et The Grocery)...
C'est qu'ils doivent vraiment prendre beaucoup de plaisir à travailler sur Doggybags et rend leur démarche d'autant plus sincère et remarquable.
Malheureusement pour moi, j'ai du mal à partager cet enthousiasme et ce plaisir.