La plupart des planches éditées dans ce recueil est parue à l’origine dans le Guardian et parfois dans le New Yorker ou le New York Times.
Tom Gauld aborde tous les sujets, beaucoup la culture et le livre en particulier : l’objet mais aussi l’écriture, la réécriture -ou l’adaptation- de certains classiques. Il imagine également ce que seraient certains grands personnages fictifs dans le monde actuel ou futur.
Il évoque aussi subtilement la montée de l’individualisme, du repli sur soir et de la peur et de la haine de l’autre.
Ses strips d’un page, parfois un seul dessin, d’autres fois, plein de petites cases ; sont décalés, barrés, absurdes, parfois profonds, parfois légers. Avec un dessin minimaliste, statique, certaines pages m’ont fait penser à Geluck et son Chat ou à Jason et son personnage de chien tantôt philosophes, tantôt bas de plafond.