Le Goon et son copain Franky sont de retour pour un second tome dans la droite lignée du précédent, à ceci près que les zombies se font plus discrets, laissant la place à d'autres créatures tout aussi stupides mais moins marquantes.
Nous avons une fois de plus affaire à des récits courts et léger, privilégiant la déconne et le second degré, où le style graphique d'Eric Powell sert merveilleusement ses délires non-sensiques.
Si l'on prend toujours un plaisir évident à lire ces péripéties frappadingues, on perd bien évidemment l'effet de surprise et l'on se prend à rêver à des histoires un peu plus consistantes. Peut-être pour un prochain tome ?