Spin off de fin
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le 23 juil. 2020
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Difficile de mettre un point final à une saga de 32 volumes, initiée deux décennies plus tôt... Mais le scénariste a été brave et conséquent, comme il prend la peine de nous l'expliquer très courtoisement dans le cahier final, qui retrace les étapes de cette longue aventure graphique. Je ne l'avais pas vue venir, personnellement, habituée que j'étais aux rebondissements sans fin de cette histoire au long cours...
la mort de Rick devait marquer, pour moi, l'avènement de Carl, que tout préparait depuis le début à être le digne successeur de son père.
Sauf que non, pof, d'un coup la société américaine retrouve ses marques et ses pantoufles de colons du XIXème siècle, étape tout à fait acceptable pour une nation construite en accéléré depuis l'éradication de tout un peuple. Et revoilà les machines à vapeur et les tribunaux expéditifs, comme dans les meilleurs (ou les pires?) westerns. Carl n'a qu'à s'y faire et se reposer paresseusement sur les lauriers tressés à son père. Et nous à nous le tenir pour dit : une fois le danger imminent passé, on peut considérer comme le top de la civilisation cette société de pionniers, certes moins patriarcale que deux siècles auparavant, mais construite sur le même consensus. Que je trouve pour le moins sommaire, pour ma part, mais une fin est une fin, le scénariste, c'est comme l'arbitre : il faut respecter sa décision et le remercier pour ces années de suspense savamment entretenu. C'était globalement bien, même si le dessin a tendu à se simplifier à la fin. Finies les doubles-pages foisonnantes, débordant de zombies tous plus hideux les uns que les autres, qui faisaient la marque de fabrique de la série au départ. Exit l'astuce de ces vignettes répétées quasiment à l'identique qui marquaient les pauses et les silences éloquents du récit. Adieu les à-plats noirs expressifs en diable. Peut-être qu'il fallait finir, effectivement, et cet épilogue doux-amer était une possibilité parmi d'autres.
Créée
le 14 févr. 2021
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