Koji décide de rejoindre ses semblables et de quitter son père adoptif, envers qui il ressent des sentiments violents qu'il ne s'explique pas. Sous la coupe de Vespero, un gigantesque Epiphanian chauve souris, ils préparent l'extermination des humains. Mais Koji peut-il vraiment laisser faire celà, lui qui sait que les humains ne sont pas tous mauvais ?
Le scénario est excellent. Koji est pris entre ses pulsions, sa nature, et son expérience. Il se transforme, comme n'importe quel adolescent, et a bien du mal à maîtriser ses pulsions. Ce deuxième tome est beaucoup plus violent que le premier.