Ex Machina, Vol. 3: Réalité et fiction par NicoBax
Des suicides inexpliqués, le symbole retrouvé sur ce qui a donné à Hundred ses pouvoirs qu'on peint dans le métro mais aussi un autre super héros qui veut prendre le relais de l'Illustre Machine. Et coté politique, après le mariage gay au précédent tome, c'est la guerre qui est mis en joue par Vaughan qui utilise son utopiste de Hundred pour descendre en règle George Bush (malgré une petite courbette un peu couarde). On en apprend de plus en plus sur le passé d'Hundred, ses rapports avec Kremlin et les autres. On a le sentiment que Vaughan veut nous faire suivre une série télé, sauf qu'ici le scénario est bon, les personnages et les dialogues aussi et qu'on a droit au dessin de Tony Harris.