Imagine un Gerard Klein déguisé en voy... nan en fait oublie Great Teacher Onizuka n'a pas grand chose à voir avec l'instit dont il reprend pourtant le principe de soigner des éleves qui vont pas. Sauf que là c'est toute la classe qui semble avoir un blème et si le rythme du récit fait un peu passage de cas social à la suite comme Dr House enchaîne les cas médicaux, il faut dire que Fujisawa maîtrise aussi bien son crayon qu'Onizuka sa moto. Beaucoup plus profond qu'on ne pourrait penser de prime abord, GTO c'est surtout du bonheur en barre, un portrait de jeunesse suffisamment cruel pour être intéressant mais aussi so cool pour être dévoré sans vergogne.
Un must have même si comme beaucoup de mangas, la fin suck un peu mais on s'en fout, personne peut test Onizuka après tout.