Commençons le synode.
Le Phoenix Charlyy s’avança devant l’assemblée.
« Le premier manuscrit que je souhaite soumettre aujourd’hui à la cour s’appelle « Gulliveriana » il a été écrit par Milo Manara (encore !) dans la maison d’édition Les Humanoïdes associés, réédité le 20 Avril Avril 2011 … »
Les huées se mirent à pleuvoir.
« Silence, comportez-vous en Phoenix dignes de ce nom ! Vous avez oublié la règle ! C’est vous qui devraient avoir honte »
Jamais 2 sans 3.
Commençons-le « Ça passe ou ça casse »
« Vous imaginez le bordel « Madame, madame votre petite garce de fille se baigne à poil ! Nue comme un ver ! » ahah charmant ! »
Après nous avoir partagé cette citation, le Phoenix demeura dans le silence un moment.
« Un problème, maître ? » s’enquis un laquais.
« Non, Phoenix, c’est juste qu’il n’y a pas de temps mort ça s’enchaine très vite. Je ferais le point à la fin. »
Charly reposa le grimoire dont il avait terminé la lecture.
« Elle n’a pas de nom »
« Phoenix, ne peut-on pas supposer que son nom est juste Gulliveriana ? »
« Certes c’est ce qui écrit dessus. Mais ce n’est pas mentionné. Bon, passons… »
Gulliveriana se prélasse et suite à des impératifs météos se retrouve à bord d’un ancien bateau désert. Elle accoste dans un monde de lilliputiens, dont elle s’enfuira, pour se retrouver dans un univers de géants, s’enfuira encore deux fois atterrissant à chaque fois dans des mondes improbables.
Le problème c’est que c’est un Livre un peu bâtard. Sexy, mais pas trop. Aventureux, mais sexy en même temps. Un peu comme un conte, une épopée.
Un charmant petit voyage (c’est le terme !) dont on ne ressort que grandis.
Alors, ça passe ou ça casse ?
Phoenix
++