Happy Zep
J'aime Zep. J'aime son dessin, son humour, l'alchimie des deux , intelligents, clairs et lisibles pour le plus grand nombre à l'instar de Franquin ou de Payot. En tous les cas dans le registre...
Par
le 19 oct. 2014
8 j'aime
1
La série "Happy Books" avait démarré sur les chapeaux de roue avec l'excellent (et provocateur) "Happy Sex", puis avait perdu sa crédibilité en recyclant honteusement "l'enfer des concerts" en "Happy Rock", avant de nous proposer un pâle "Happy Girls". Ce n'est pas ce triste "Happy Parents" qui nous fera aimer à nouveau le Zep "hors Titeuf", et ce d'autant que Titeuf n'est jamais loin ici, en particulier dans la seconde partie du livre, qui parle des joies d'être parents de pré-adolescents qui ressemblent à s'y méprendre à l'idole des français. Bref, on aura certes souri aux premières planches qui nous rappellent les affres des premiers mois avec bébé, mais on aura ensuite rapidement sombré dans la routine d'un humour qui nous caresse honteusement dans le sens du poil... [Critique écrite en 2015]
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleures BD de 2014
Créée
le 7 janv. 2015
Critique lue 368 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Happy Parents
J'aime Zep. J'aime son dessin, son humour, l'alchimie des deux , intelligents, clairs et lisibles pour le plus grand nombre à l'instar de Franquin ou de Payot. En tous les cas dans le registre...
Par
le 19 oct. 2014
8 j'aime
1
Je préfère ce genre de projet annexe de Zep que ses récits sérieux actuels. En effet, il propose ici des petites blagues assez amusantes, qui sentent souvent le vécu (mais pas toujours). C'est pas...
Par
le 4 oct. 2019
1 j'aime
2
Parallèlement à « Titeuf », Zep développe une série « Happy » destinée à un public plus adulte. Après les filles, les concerts et le sexe, voilà « Happy parents ». Une planche, un gag, sur l’enfer...
Par
le 20 juil. 2015
1 j'aime
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
191 j'aime
115
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
190 j'aime
25