Si j’avais été quelques peu dubitatif avec le deuxième volet de la trilogie en reprochant une intrigue trop politique et un manque d’action, « Ultimates : tome 3 : independance day » s’est avéré bien plus passionnant et riche en rebondissements.
On a donc l’impression que Millar et Hitch avaient gardé leurs meilleurs cartes pour produire un final en apothéose avec des dessins grandioses et une histoire de super héros larger than life qui vous emporte complètement.
L’idée de créer une force d’opposition aux super héros américain est très bonne et cette intrigue politique se double d’une manipulation d’un dieu du mal donnant un second de niveau de lecture plus mystique très appréciable.
Captain America apparaît également plus fragile et humain car engoncé dans ses souvenirs de la Seconde Guerre Mondiale et en complet décalage temporel avec son époque dont il ne comprend pas les codes.
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