Cet album est dans la contnuité du toma 4: absurde, surréaliste, glauque. Certains gags sont complètement barrés. Je dirai que seul le dernier gag, plus particulièrment la dernière chute de l'album, ne m'a pas fait rire.
Question dessin, il faut aimer Bercovici. Moi j'aime son trait rapide, brouillon pour certains. Je trouve qu'il est capable de trouver une certaine justesse avec peu d'éléments comme pouvaient le faire Reiser et Bretecher en leur temps. Puis aussi, phénomène amusant, ses infirmières sont de plus en plus sexy (il n'y a qu'à regarder la couverture).
Bref, encore un excellent cru.