Mi-cool, mi-nul...

Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce Kick Ass 3 est à la fois ennuyeux et absolument génial. Pourquoi, parce que la première partie est chiante à en crever et que la deuxième est sensationnelle.
Donc, cette première partie, que puis-je dire, c’est vrai… qu’après un deuxième tome relativement violent, il était logique que ça se calme un peu. Il était logique que cette première partie du troisième tome avait surtout pour but de préparer la deuxième partie. Et après tout, je ne vois pas d’inconvénient à se poser le temps d’une centaine de pages pour amener quelque chose. Mais quand c’est fait avec si peu de rythme c’est juste chiant !
Enfin bref, j’ai pas grand-chose à dire de plus sur cette première partie. Puis arrive la seconde. Et là pour le coup, qu’est-ce que c’est génial ! C’est dans cette dernière partie où les personnages apportent chacun quelque chose à l’histoire (je pense surtout à Christopher Genovese dont j’aime beaucoup le développement). C’est dans cette partie où on retrouve ce côté politiquement incorrect qui fait le charme de Kick Ass. Bref, c’est dans cette partie, où tu t’éclates, où tu passes un excellent moment. Et je ne le savais pas, mais en fait, c’est fini. Voilà, Kick Ass est fini. Bon la fin est sympa, c’est pas « whoua, incroyable ». Voilà, ça fini l’histoire quoi.
Donc c’était à peu près ce que j’avais à dire sur ce dernier Kick Ass et je trouve ça dommage que j’arrive pas à dire plus mais faut dire que cet épisode n’a rien de plus à nous proposer. Mais bon, ça passe, c’est sympa. Donc pourquoi s’en priver ?