Contrairement à beaucoup, ce n'est pas forcément un tome qui m'a enchanté. L'histoire est plutôt intéressante avec cette invention décisive du professeur Tournesol (un appareil permettant de détruire les objets en verre via des ultrasons), pouvant être employée à de funestes fins.
On se replace alors dans le contexte de la Guerre Froide, opposant deux grandes forces. On retrouve alors la Syldavie et la Bordurie, nations imaginaires déjà évoquées et qu'on associe facilement aux blocs USA-URSS. J'ai bien aimé le nom du personnage Pleksy-Gladz, censé représenter Staline.
J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup plus de dialogues dans cet épisode que dans d'autres. C'est peut-être également le ton et le réalisme qui m'ont moins plu. Et encore une fois, Tintin est increvable.
Après, dur d’enchaîner avec l'ambitieuse escapade sur la Lune...
A noter l'apparition de Séraphin Lampion. Je pense qu'il n'est pas étranger à mon aversion pour la paperasse et les assurances...
Également l'arrivée d'un gag récurrent : l'erreur de numéro téléphonique avec la boucherie Sanzot.