Lâcheté et mensonges
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Ce onzième chapitre, dans la continuation du précédent, nous offre une série de sensations fortes comme Urasawa en a le secret : des coups de théâtre particulièrement efficaces (la véritable identité d'Anna, la tueuse blonde ; l'origine de Grimmer et de "magnificent Steiner"... On est gâtés !), de nouveaux personnages secondaires fascinants ou émouvants (la mère de Suk et son Alzheimer, le chef de la police secrète et ses remords), et surtout au moins un intense moment d'émotion, comme ce retour sur les enfances brisées par le Kinderheim 511. Tout simplement parfait, encore une fois, et une sorte de quintessence de l'art d'Urasawa ! Oui. décidément, Prague réussit à "Monster"… [Critique écrite en 2012]
Créée
le 2 mars 2016
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