Malgrès une couverture de premier tome assez prometteuse - bien que ca sente la nana à gros seins avec un flingue- on constate que malheureusement le fil rouge a peu de contenu.
Un grand béta, une bonasse écolo et un élu hermaphrodite. Le bien contre le mal allégorisés par la méchante ville sur polluée et sur contrôlée, sur scientisée, sur mécanisée contre les gentils exilés écolos qui vivent dans les bois et parles avec les animaux...
Cependant les graphisme restent agréable et les looks des personnages psychédéliques rattrapent un peu le coté consensuel et laconique de l'histoire