Soyons réaliste c'est à vomir cette partouze super-héroïque où on a quatre héros au cm². La deuxième partie de l'album m'a vraiment dégoutté sur ce point. Sans parler de l'aspect faussement épique qui ne fonctionne absolument pas. Et je n'évoquerai pas l'aspect résurrection généralisé que je n'avais pas cramé à des kilomètres. Et je ne dirai mot sur la nécessité de mettre des anneaux à tous les membres importants de DC pour éclipser les porteurs originaux. Et je tairai... attendez je deviens ridicule là?
Passons au positif car il y en a un peu malgré tout. Le White Sinistro tellement classe. La page des retrouvailles Mera / Arthur, émouvante et surtout éblouissante au dessin. Le premier quart du livre avec la création d'un l'arc-en-ciel émotionnel uni et de la lumière blanche.
Et surtout Larfleeze. J'ai souvent des coups de cœur sur des personnages féminins, moins sur les masculins, pourtant je dois dire que je l'adore depuis ma découverte dans le tome 7 de Green Lantern. Il me faire rire à chaque passage et en même temps on le prend en pitié car on sent qu'il est pourri de l'intérieur par son avarice.