Frank Miller conclut donc son aventure sur Sin City avec ce 7ème et dernier tome, non sans au passage faire des références à certaines de ses œuvres (Daredevil, 300, Ronin, Hard Boiled, Martha Washington, Big Guy et Robot Boy) où pour le coup on a le droit à de la couleur. Le dessin est toujours aussi bien dans cette œuvre mais le scénario n'est pas original comparé aux autres récits, celui-ci se déroule en ligne droite, à aucun moment on ne doute de la fin du récit et on est pas surpris des choix scénaristiques.
Bref cette oeuvre n'apporte rien de plus par rapport aux autres, sauf si vous voulez voir (encore) une fois un dur péter la gueule à tout le monde...