Les diaboliques
En 1967, j'avais dix ans, et je n'avais pas la chance de vivre sur la Côte d'Azur comme Antoine Lafarge, le héros (et narrateur du livre dans le livre) de "l’Été Diabolik", je lisais "le Journal de...
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le 2 août 2016
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L'histoire s’essouffle dans la 2e partie et ses explications ; il y avait dans la première beaucoup plus de subtilité et de suspense je trouve, du fait du regard arrière porté par le narrateur sur les événements relatés et le fait que beaucoup de questions restent irrésolues. Le multiformat - la postface au milieu, le fait que le narrateur ait écrit un livre de son histoire - m'a (positivement) perdue. Mais ce qui m'a surtout emballée, moins que le dessin des personnages ce sont les couleurs pop, les aplats, les jeux d'ombres (magnifique visage éclairé par l'allumette derrière les mains), les lignes, le grain de l'image de couverture... Graphiquement, c'est superbe. Scénaristiquement c'est un peu bizarre / tiré par les cheveux mais si on accepte de se laisser prendre au jeu, ça reste sympathique - il me manque peut-être des références pour apprécier à 100%. Bref, pas de regrets sur cette lecture ! Du beau boulot.
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Créée
le 19 déc. 2020
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