Les albums se vendent sans problème comme des petits pains suite à la reprise de la série par un nouveau duo mais cette fois-ci Ferry cède la place à Fabcaro et Conrad assure toujours avec talent le dessin.
L'Iris blanc, bien accueilli, est dans l'ensemble plutôt un bon album mais un poil décevant. Le nouveau scénariste s'empare avec soin de l'univers d'Astérix et son style n'est pas sans rappeler du Gosciny dommage tout de de même que son histoire s'essouffle durant sa deuxième partie (cela débute au village des irréductibles Gaulois puis ça se passe à Lutèce). Fabcaro reprend l'idée, déjà vu, d'un homme venant d'ailleurs et semant la zizanie (titre d'un autre aventure du même genre) dans le village (c'était le cas du Devin aussi).
Le début est vraiment prometteur mais je trouve ensuite que cette histoire perd de son entrain durant sa deuxième moitié. Ce 40ème tome reste agréable à lire.