Gare aux poux!
Hormis un détail scénaristique raté qui est qu'apparemment François et Raynald n'ont jamais pu retrouver Québec depuis qu'ils ont emmené le vieux prospecter et que malgré cela, un barman semble bien...
Par
le 19 déc. 2011
3 j'aime
3
BD franco-belge de Raoul Cauvin et Willy Lambil (1987)
Cet album des tuniques bleues se situe pour une fois hors des champs de bataille. Blutch et Chesterfield doivent se rendre au Québec pour récupérer l'or qu'un vieux prospecteur veut léguer aux confédérés. Et bien sûr, ils doivent arriver avant les confédérés.
La quête du butin est amusante, car ils sont guidés par "le coureur des bois", qui s'avère un guide calamiteux. Un twist scénaristique au milieu de l'album apporte la touche originale comique de l'album, et on rigole bien jusqu'à la fin. Un album amusant!
Créée
le 23 juil. 2015
Critique lue 345 fois
3 j'aime
3 commentaires
D'autres avis sur L'Or du Québec - Les Tuniques bleues, tome 26
Hormis un détail scénaristique raté qui est qu'apparemment François et Raynald n'ont jamais pu retrouver Québec depuis qu'ils ont emmené le vieux prospecter et que malgré cela, un barman semble bien...
Par
le 19 déc. 2011
3 j'aime
3
Pour ce 26ème tome des aventures de Chesterfield et Blutch, les auteurs optent pour un dépaysement sympathique et envoient leurs larrons au Canada. Il y avait la crainte qu'en quittant le champs de...
Par
le 7 mars 2013
2 j'aime
1
Dans cet album nos héros se retrouvent à devoir empêcher les Confédérés de mettre la main sur de l'or venant du Québec. Ils quittent les champs de bataille pour s'y rendre, mener par un "guide" local...
Par
le 8 janv. 2019
1 j'aime
Du même critique
Avalonia est dans l'air du temps : une fable écologiste décroissante qui mise sur la diversité des personnages et coche toutes les cases d'un cahier des charges que certains pourraient qualifier de...
Par
le 5 déc. 2022
32 j'aime
7
Ca faisait 8 ans qu'un nouvel Astérix n'était pas sorti, et on peut dire que le dernier opus n'était pas bien terrible, ni au niveau du scénario, ni au niveau du dessin, bien en dessous de la moyenne...
Par
le 24 oct. 2013
28 j'aime
14
Je n'ai jamais autant soupiré à la lecture d'un Werber. En fait, à bien y réfléchir, je n'ai jamais autant été agacé à la lecture d'un roman. Ici, Werber est totalement en roue libre et nous propose...
Par
le 22 mars 2017
25 j'aime
3