Alors que l'eau monte sans horizon de décrue, le monde dans lequel nous nous retrouvons se tend, se contrôle, se divise... On suivra ici ceux qui luttent, le peuples de l'eau. Une histoire s'imprégnant des peurs actuelles des montées des eaux relatives au changement climatique. Entre une nouvelle organisation humaine, le récit convoque aussi l'esprit d'un étrange chien bleu philosophe regardant ces humains les pieds dans l'eau.
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Dans un écrin graphique par celui qui sait dessiner la nuit, l'aube et l'aurore, ces moments quand ça brille sur l'eau, et ces jeux d'ombre. J'aime ce trait aux apparences brouillonnes mais qui convoque une grande sensibilité. Une première partie prometteuse avec un propos poétique et militant.
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