La Femme piège - La Trilogie Nikopol, tome 2 par Christine Deschamps

Notre bon Bilal s’emberlificote tout seul dans son histoire extravagante, et vas-y que je mélange tout, les dieux égyptiens, la géopolitique et les paradoxes temporels, avec mes personnages de toutes les couleurs, à moitié à poil la plupart du temps. Le reste du temps, ils se salissent, comme de vieux moteurs laissant filtrer des fluides gras et nauséabonds. Tout est délabré et bancal, les décors comme les êtres. Une journaliste aux cheveux bleus passe d’un amant à l’autre et se gave de petites pilules aux effets inattendus, les deux Nikopols se croisent sans se retrouver, le monde part à vaux-l’eau… que dire de plus ? C’est bizarre, ni désagréable ni agréable, il y a des trouvailles, dont cette fausse page de Libé qui publie des articles du futur pas très bien rédigés, mais aussi des tics un peu énervants et des graphies insuffisamment soignées. Je suis perplexe.

Créée

le 8 déc. 2016

Critique lue 438 fois

1 j'aime

Critique lue 438 fois

1

D'autres avis sur La Femme piège - La Trilogie Nikopol, tome 2

Du même critique

Watchmen
ChristineDeschamps
5

Critique de Watchmen par Christine Deschamps

Il va vraiment falloir que je relise le somptueux roman graphique anglais pour aller exhumer à la pince à épiler les références étalées dans ce gloubiboulga pas toujours très digeste, qui recèle...

le 18 déc. 2019

23 j'aime

3

Chernobyl
ChristineDeschamps
9

Critique de Chernobyl par Christine Deschamps

Je ne peux guère prétendre y entendre quoi que ce soit à la fission nucléaire et, comme pas mal de gens, je présume, je suis bien contente d'avoir de l'électricité en quantité tout en étant...

le 9 sept. 2019

13 j'aime

5

Tuer l'indien dans le cœur de l'enfant
ChristineDeschamps
8

Critique de Tuer l'indien dans le cœur de l'enfant par Christine Deschamps

Civilisation : "État de développement économique, social, politique, culturel auquel sont parvenues certaines sociétés et qui est considéré comme un idéal à atteindre par les autres." Cela ne...

le 16 avr. 2021

11 j'aime

4