J'ai malheureusement lu ce tome sans avoir réussi à mettre la main sur le précédent, "Rue de la bombe", donc j'ai dû combler quelques trous, car on retrouve les personnages des deux livres précédents.

L'histoire est très imbriquée, on suit, côté FLN comme côté armée française, les calculs compliqués, les choix difficiles qui n'en finissent pas de rendre la situation insoluble. Ferrandez capture bien cette impression d'une situation qui échappe, qui amène les destins individuels dans un cul-de-sac.

Ce n'est pas mon tome préféré des "Carnets d'Orient", mais c'est un tome nécessaire, qui se boucle sur le fameux "Je vous ai compris" de De Gaulle, et l'espérance illusoire qu'il amène.
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le 19 janv. 2015

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