Dans ce troisième tome de la quête d'Ewilan (que je discerne se découper en 6 œuvres, il n'y a à présent plus de doute) on nous offre un rythme sympathique, jalonné de plusieurs séquences d'actions appréciables avec un fidélité qui fait honneur aux romans d'origine.
Le design des ennemis est appréciable (j'ai bien aimé les Raïs), même si certains dessins reste encore une fois très passablement finis. Celui des Faels et quant à lui bien singulier, plutôt fidèle au roman mais éloigné de l'image que j'avais pu m'en faire.
Mis à part ça, les couleurs sont très belles et les décors sont fort sympathique (avec un final impressionnant), entretenant la magie au niveau de la faune et flore de Gwendalavir tout comme les tomes précédents.


Seulement là où le choix des dialogues pour la plus grande majorité (voir la totalité ?) venant directement des bouquins est fort bienvenu, celui de la narration est en revanche plutôt navrant avec une redondance pénible et une installation d’atmosphère forcé. L'aspect du danger et trop souvent abordé et les phases de narrations sont trop proches les unes des autres pour bien être appréciable, dommage.

ChamoisDoux
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.

Créée

le 10 févr. 2016

Critique lue 155 fois

ChamoisDoux

Écrit par

Critique lue 155 fois

D'autres avis sur La Passe de la Goule - La Quête d'Ewilan, tome 3

Du même critique

Mustang
ChamoisDoux
4

Le mariage expliqué aux imbéciles

Cette voix off, quel supplice. Le film se veut libre et libérateur, accusant les torts d'une société, que dis-je d'une culture archaïque et obsolète, mais il ne vous laissera aucune interprétation...

le 4 mai 2016

1 j'aime

1

Spotlight
ChamoisDoux
8

Ennui inexistant.

Jamais je n'aurais pensé que suivre les péripéties de journalistes en quête d'investigation serait aussi accrocheur et "agréable" à regarder. On ne s'ennuie jamais et l'histoire s'écrit comme un...

le 9 févr. 2016

1 j'aime

Chocolat
ChamoisDoux
7

De la fraîcheur et de la convenance

Chocolat nous propose une expérience cinématographique riche en sens et en maîtrise. Le film fait son boulot sans jamais transcender sa condition de biopic. Il choisit une narration linéaire...

le 9 févr. 2016

1 j'aime