Je me suis un peu lassée des gimmicks narratifs de Liv Strömquist : les bulles qui répètent par exemple ce qui est déjà écrit dans les cartouches, c'est rigolo 2-3 fois, puis on a compris, et on s'épuise plus à tout lire.
J'aime toujours autant sa façon de vulgariser des textes complexes, mais là j'ai eu l'impression d'avoir un résumé littéral de Pourquoi l'amour fait mal, d'Eva Illouz. Un peu paresseux donc ! La deuxième partie sur le basculement vers l'importance d'"être aimé" plutôt "aimer" m'a quand même beaucoup plu, même si encore une fois son style m'agace de plus en plus.